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About “Winrah Marah”

“Si exotisme il y a, il est dans la voix lumineuse et le chant en arabe de Jawhar qui nous emmène ailleurs. Son spleen, il le cultive aujourd’hui depuis la Belgique avec une proposition musicale plus étoffée, plus produite qui va parfois chercher vers le clair-obscur de Timber Timbre.”

Marion Guilbaud - France Inter

“Les traces de Chaâbi qui teintent son univers sont palpables dans ses intonations râpeuses et sensuelles, comme dans son humeur bluesy. Sue ce troisième album, justement, le troubadour est plus sombre , aussi bien dans le ton que dans les textes. C’est que les désillusions du printemps arabe sont passées par là.”

Anne Berthod - Télérama

“Il a conquis le public des Transmusicales de Rennes… Jawhar compose et chante dans sa langue maternelle une pop-folk intimiste, aérienne et mélancolique. Il écrit des chansons qui racontent des personnages vivant en marge de la société, mal compris, luttant pour leur singularité, des histoires qui portent en creux un regard critique sur la société, évoquent une certaine désillusion.”

Patrick Labesse - Le Monde
 

« Il y a de la prière dans cette musique-là, une quête de pureté subtilement contaminée par un charme vénéneux et contagieux. »

L’Obs 24/10/2019

« Mêlant chant en arabe et folk à la Nick Drake, la musique de Jawhar est aussi unique que bouleversante. »

Focus.be, 23/2/2018

« Exposée aux charmes d’un rock sombre et raffiné, la musique de Jawhar gagne en intensité, sans perdre son authenticité. »

Larsen, mars 2018


 
« Il y a chez l’artiste un don pour la légèreté, dans la guitare et les compos aux accents folk, soulignés encore par la délicatesse de sa voix […]  Beau et touchant, encore une fois. »

Le MAD, 18/4



« Winrah Marah touche au sublime via dix chanson folk-rock qui, en arabe, tirent un trait d’union entre la fragilité de Nick Drake et le charme ténébreux de Timber Timbre tout en s’inspirant des musiques traditionnelles africaines. Un grand disque qui mérite toute votre attention. »

Moustique

« Le grain de guitare, les claviers nuageux, le timbre de voix hypnotique, les arrangements entre terre et ciel - l'était chaotique du monde arabe ? - signent d'ores et déjà l'un des plus beaux albums de l'année. »

Focus Vif

Sur un troisième album, on ne peut plus compter sur l’effet de surprise. Et quand l’essai précédent est brillant, le risque de déception est grand. On n’aura pas à déplorer de baisse de régime cependant puisque Winrah Marah se permet de se placer dans la lignée de son prédécesseur en montrant une vraie évolution. Esprit Critique

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Press extracts about Qibla Wa Qobla

RifRaf – 2013
« Si l’on pouvait mesurer la valeur d’un homme à sa capacité à habiter sa langue, faire corps avec ses inflexions, l’emmener ailleurs, nul doute que Jawhar Basti, prophète hédoniste, se verrait couvert de décorations… »

Axelle - 2014
« Jawhar, les grands espaces.
Un pied dans le folk, et l’autre en orient dans le Chaâbi, les deux signifiant qu’il s’agit de musique pour les gens, pour le peuple…
Son sourire du dedans qui irradie jusqu’à nos oreilles, sa tranquillité saupoudrée d’irrévérence. »

Larsen - 2013
« Jawhar profite des derniers jours de 2013 pour publier un des plus beaux disques de l'année… Qibla Wa Qobla creuse un tunnel reliant la mer du Nord à la Méditerranée. La musique folk en profite pour déployer ses averses mélancoliques sous un soleil radieux: un phénomène plutôt rare et un album merveilleux. »

MAD. Le Soir - 2013
« Révélé par un très impressionnant premier album en anglais (When Rainbows Call, My Rainbows Fly), le chanteur tunisien va cette fois encore plus loin dans sa quête d'un folk rattaché à ses racines, en chantant en arabe. (…) Jawhar trace une nouvelle voie où l'Orient prend l'allure de grands espaces américains. Un travail soigné, original et poignant!" »

Le Vif - 2014
« La rencontre inattendue entre modernité et tradition. Musicien, dramaturge, comédien, Jawhar fait chanter sa langue maternelle, se réapproprie une part de sa culture et lui ouvre de nouveaux horizons. Avec beaucoup de classe, de cachet et d'audace. »

Musiczine - 2014
« Etonnant et déconcertant sont les deux termes qui traversent d'abord l'esprit à l'écoute de cet album.
Une mosaïque chatoyante où Rock, Pop et Soufi ont appris à parler le même langage: celui de la musique universelle et intemporelle.
Un fameux coup de pied aux conventions. »

Les Inrocks - 2015 
"Dans Qibla Wa Qobla (« Le Baiser et l’orientation de la prière »), ses chansons folk teintée de pop s’accouplent à des réminiscences de mezoued tunisien pour que la langue arabe dévoile sa nature intrinsèquement musicale, nostalgique et érotique."

RFI Musique - 2015
"Si ces premiers enregistrements principalement chantés en anglais évoquent le travail d’un Nick Drake, Qibla Wa Qobla ouvre de nouveaux horizons, ne serait-ce que par le choix de la langue arabe, peu habituée à venir se glisser sous des draps de coton folk-rock."

La Terrasse - 2015
« Le Baiser et l’Orientation de la Prière », entre charnel et spiritualité. 
Avec son deuxième album« Qibla Wa Qobla », Jawhar confirme un talent tranquille et profond de conteur."

Afrique Asie magazine - 2015
"Il y a une élégance dans la diction et une discrétion dans l'approche; un lyrisme qui transpire à chaque petit sursaut de la voix et une ardeur à peine étouffée que l'on ressent au détour des mots et des couplets"

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ENG

MAD / Le Soir
- Nov 2013 (Thierry Coljon)
“Revealed to the public by an impressive first album, singer-songwriter Jawhar goes further into his quest of folk music related to his homeland”

LARSEN
- Nov/Dec 2013 (by Nicolas Alsteen)
“In motion between his homeland Tunisia and the Belgian coutryside, Jawhar publishes one
of this year’s most beautiful record. Qibla Wa Qobla digs a channel between the north and the Mediterranean Sea. Folk music here deploys its melancholy downpour under a radiant sun: a rare phenomenon and a wonderful album.”

RIFRAF
– Dec 2013 (by Anne-Lise Remacle)
“If one could measure the valor of a man by his capacity to inhabit his own language, to create one with its inflexions and to take it further, no doubt that our hedonist prophet, Jawhar Basti, would be covered with decorations”.

HEAVEN / Popmagazine.nl
- June 2014 (by Kees Van Hee)
“ ... some of the 12 pop-folk songs on his second album Qibla Wa Qobla, almost seem happy and are nicely orchestrated with subtlety using a.o. banjo, glockenspiel and upright bass. Each song is appealing. Despite of Jawhar’s voice and maybe an exotic instrument, he rather sounds as a timid Western singer-songwriter who dares to show a vulnerable profile and who has that exotic extra little something which distinguishes him from the mainstream.”

AXELLE
- Jan 2014 (by Sabine Panet)
“Jawhar, the big spaces. One foot into folk and the other into chaâbi. Both meaning music for the people (...) An inner smile irradiating from within, a tranquility seasonned with irreverence”

MUSICZINE / L’Avenir.net
- Jan 2014 (by Akim Serar)
“Astonishing and baffling are the two words that first come to mind when listening to
Qibla Wa Qobla (...) A Shimmering mosaic where rock, blues, pop and sufi have learnt
to talk the same lan- guage: Universal and timeless music”